janvier


Janvier, on se chauffe

En hiver, un horaire spécial est parfois instauré, on se réchauffe au mieux.

Ecole des Sœurs

Dans les années 1950, on rentrait un quart d’heure plus tard le matin. On apportait ses pantoufles en classe.


« Le port du pantalon était interdit sauf par très grand froid, on y avait droit à condition de passer une jupe par-dessus. »


Au Busteau, un poêle à charbon subsiste dans les classes, les élèves y déposent leur gamelle et leur gourde.

Ce n’est qu’en 1963-64, qu’un poêle à mazout sera installé.

Ecole Saint-Joseph

En 1875, les élèves payent annuellement 3 F pour le chauffage et l’entretien des classes. 

 

En 1934, le chauffage central est installé dans les classes.


André Capron se souvient : «Jusqu’à ma 3ème année, je crois, il y avait un poêle au milieu des classes. Ceux qui étaient autour avaient trop chaud et ceux qui étaient dans les coins avaient froid. Ensuite, il y a eu des radiateurs dans toutes les classes. »


En hiver, les cours se terminent à 16 heures au lieu de 17 heures.

Des nouveaux cours lors de la rentrée de janvier 1926 à l’école Saint Joseph

 

Cette année-là, les classes reprennent le 4 janvier et deux nouveaux cours : dactylographie et sténographie , sont organisés dans le but de développer les élèves du quatrième degré dans les carrières commerciales.

La cotisation annuelle est fixée à 5 frs et 6 élèves s’inscrivent. Tous reçoivent le cours de sténographie d’après la méthode Meysmans de Bruxelles

La sténographie est l'art de se servir de signes conventionnels pour écrire d’une manière aussi rapide que la parole.





 

La bonne bête eut l'air de comprendre son maître, car elle continua de le suivre sans faire plus de bruit

 




que la lune qui glissait sur les aigrettes des sapins.